Ces derniers temps, le nombre d’utilisateurs de réseaux sociaux ne cesse d’augmenter. Pour cela, chaque utilisateur encourt une violation de droit à la vie privée, parce que la protection de son droit privé est devenue difficile avec l’invasion des réseaux sociaux. Plus on partage de manière publique un contenu privé, plus on est vulnérable.

Le droit à la vie privée privé sur internet et les sanctions en cas de non-respect

Selon l’article 9 du Code civil, chaque individu a le droit de parler et de partager sa vie privée sur l’internet, tant que cela ne touche pas le droit privé d’une autre personne. Il est donc prudent de bien réfléchir avant de publier une photo, un vidéo, ou autres, qui pourront atteindre sa vie privée et celle d’autrui.  Et autrement dit, il est possible de donner une autorisation au tiers pour publier une information ou une photo concernant votre vie privée comme http://www.creafact.fr. Cette autorisation doit être formelle, précise et sans équivoque. Pour cela, la victime de violation de droit à la vie privée sur les réseaux sociaux peut saisir le tribunal d’instance. L’auteur risque des sanctions civiles et aussi des sanctions pénales. Il peut être sanctionné par des dommages et intérêts. Selon la situation, le juge peut ordonner des mesures spécifiques pour arrêter l’atteinte à la vie privée. Et il peut aussi être puni d’un d’emprisonnement et quarante-cinq mille euros d’amende, s’il transmet ou capte une information qui porte atteinte l’image d’une personne.

Les risques encourus sur le droit à la vie privée

Saviez-vous que chaque utilisateur de réseaux sociaux est vulnérable et est exposé aux risques occasionnés par la non-maîtrise de certaines fonctionnalités et les règles de confidentialité. Tout d’abord, l’internaute risque de la cybercriminalité et le cyber harcèlement. Par exemple, les hackers font un piratage de votre compte qui pourrait nuire votre image et celui de votre entreprise, il y a aussi l’usurpation d’identité. Ensuite, l’utilisateur risque des agressions sexuelles comme la pédophilie. De nos jours, le malfaiteur utilise les réseaux sociaux pour attirer les victimes potentielles. L’hacker pourra exiger une grosse somme d’argent en menaçant la publication d’un contenu intime de la victime. Les applications malveillantes exposent également la vie privée des utilisateurs à tout moment.

Les bonnes pratiques pour limiter les risques

Comme nous disions auparavant, les utilisateurs des réseaux sociaux sont vulnérables devant le hacker. Mais pour limiter les éventuels risques, il est fortement conseillé de suivre les bonnes pratiques suivantes :

  • Assurer et régler les paramètres de confidentialité de votre compte : la visibilité de vos contacts, vos informations personnelles, les photos, votre numéro téléphonique, votre adresse électronique et autres.
  • Regrouper votre liste d’amis en catégorie comme en amis proches, familles, des connaissances, et autres : cela vous aide à garder confidentiellement certaines publications.
  • Créer un mot de passe complexe comportant des chiffres, des caractères spéciaux, des lettres majuscules et minuscules. Il est plus sécurisé d’utiliser le paramètre de la double authentification.
  • Ne pas oublier d’effacer régulièrement vos cookies sur votre mobile ou sur votre ordinateur.
  • Et surtout, ne pas oublier de vous déconnecter lorsque vous n’utilisez plus votre compte.